Textes en l’air 2025, c’est parti !

/// INFO MERCREDI 23 ///

La météo étant ce qu’elle est, avec ses velléités d’orage, l’inauguration du festival à 18h30 et le concert d’Evelyne Gallet de 19h30 se feront sous la Halle de Saint-Antoine.
Le spectacle de 21h30, Coupures, par les Tréteaux de la Cumane, est maintenu mais déménagé au théâtre du furand, en bas du village.

Car à Textes en l’air, on n’annule rien.
On sourit large et on se replie.
Avec panache (bien sûr).

chacun chacune cherche sa place

Chacun chacune cherche sa place,
tel est le fil rouge proposé par ce 21ème festival Textes en l’air.

Chacun chacune cherche sa place : une quête, une injonction, une nécessité ?

D’une histoire à l’autre pendant le festival, le fil rouge se tisse…

Mère et fils cherchent la leur dans le monde du travail : existe-t-elle alors que les machines hier, les nouvelles technologies aujourd’hui offrent la possibilité de se passer de certains humains ? Et fait-elle si envie cette place qu’on nous exhorte à choisir ? Dissident, il va sans dire

Tout va si vite pour ces deux jeunes guinéens : une place espérée depuis un autre continent, rêvée, idéalisée et possible ? Trois minutes de temps additionnel

Trouver sa place dans la lignée familiale, à condition que le récit existe, qu’il soit raconté, que les zones d’ombre comme des trous noirs à l’intérieur de l’histoire, soient éclairées petits à petits par la parole, par l’échange, par l’amour surtout. Vivante

Chercher sa place en essayant de tenir ensemble nos choix, nos engagements quand ils se retrouvent confronter à une réalité qui vient les percuter. Quand conviction et obligation se frottent l’une à l’autre. Coupures

Sa place de citoyen, une des plus belles à rechercher, à investir. Dans un monde qui semble si proche du précipice, c’est avec humour et impertinence que nous sommes conviés à y réfléchir. L’art d’avoir toujours raison

Antonin, l’enfant dont les mots s’emmêlent dans sa bouche (Sabine Revillet), Dame Jument, seule dans son pré, (Jeanne Lepers), ou cet homme qui a perdu sa réalité (Radoslaw Klukowski), nos trois artistes résidents cette année ont aussi interrogé cette même histoire de place.

Chacun chacune cherche … parce que tout bouge autour de nous et en nous, parce que la vie est mouvement, toujours !

Alors venez prendre place sur les gradins de la Basse Cour et du théâtre du Furand, à l’ombre des arbres des jardins ou de la Grande cour, Il y a forcément une place pour vous !

Pour Textes en l’air,

Valérie Charpinet,
directrice artistique